Pour Ceux Qu’on Aime
Des cités d'or et de fer, des géantes aux cent bras
Aux quatre coins de la Terre, on ne plaisante pas
Il faut faire et défaire et ne penser qu'à soi
Des milliards de solitaires, ça ne s'invente pas
Et moi je traine mon anonymat
J'essaie quand même de toucher du doigt
La chaleur humaine qui a pris le froid
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Donner du temps et de la voix
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Parce qu'on est moins seul qu'on le croit
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Donner du temps et de la voix
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Parce qu'on est moins seul qu'on le croit
Aussi haut que l'Himalaya
On élève des tours et des maisons sans toit
Y a pas de neige éternel sous ces fenêtres là
Alors on change de chaine. C'était quoi déjà ?
Et moi je traine mon anonymat
J'essaie quand même de toucher du doigt
La chaleur humaine qui a pris le froid
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Donner du temps et de la voix
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Parce qu'on est moins seul qu'on le croit
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Donner du temps et de la voix
Pour ceux qu'on aime, une heure à peine
Parce qu'on est moins seul qu'on le croit