La Danse du soleil
Laissez moi vous narrez cette courte histoire
L'histoire d'un élan surprenant et de ses espoirs
D'un homme qui tomba pour des sourires et un regard
D'un homme qui combat pour sortir de ce jeu trop tard.
Les piliers de la créations, rivaux à ses yeux tricheurs
Et ce fameux sourire nourrie le grand feu ravageur
L'épiphanie abat l'athée par un soudain déisme
L'illusion m'emporte avec un délicat séisme
Et si dans ses pas, j'observais le fracas du soleil
J'ai appris que ça n'était qu'une ombre que tu balayes.
Si tu as su me balader comme le phénix
La fée nyx m'avait prévenu, pointant du doigt le damné styx
L'étoile s'apprêtait à ce changer en nova
Voilà déflagration de confiance qui me souffla
Je t'ai croisé avant le fleuve des aurevoir
J'aurais dû comprendre l'avertissement de la dame du soir.
Croiser ton chemin m'a permis pendant un court instant de retrouver le miens.
Et si notre histoire a rencontré sa fin, ma chambre aux pieds du lac accueille à nouveau quelqu'un.
Un élan, la danse du soleil pour ce nouveau cycle,
Un pas en avant, nouvelle vie, premier article.
Mon temps m'appartiens, et je veux le vivre comme un jeu,
On tend, à la fin, à être libre. Article 2 :
Confiant, j'incarne ma volonté et mes choix,
Long, lent, je forge l'homme. Article 3 :
Du cran pour continuer à découvrir, à prendre des claques,
Apprendre, toujours. Article 4 :
Le temps est éternel, mais nos vies sont succinctes,
Chaque détails compte. Article 5 :
Perspectives respectives sont des abysses,
Alors j'écoute attentivement. Article 6 :
J'accepte quelques pas qui compte vers une vie d'ascète,
Pour préserve quiconque. Article 7 :
Même si dans mes plaines, toujours les conflits dansent,
Requiem chante encore l'amour, jour de confidences.
Sans toi, je n'aurais peut-être jamais retrouvé la force de faire ces premiers pas,
Sans toi, j'en serais peut être encore à cet endroit, un nuage de fumée qui fait les 100 pas.
Ça aura durée quelques semaines, quelques jours,
C'était impactant, comme souvent avec l'amour.
Une bouffée d'air quand j'étais en train de me noyer,
Un souffle éclair puis emporté par la marée,
Et si je ne sais pas encore dans quel port amarrer,
Tu m'as fais visiter des côtes inexplorées,
Au travers d'un lien que j'estimais insoupçonnable
J'ai pu écrire une part de ma fable ineffable
Alors je te remercie pour qui tu es, et plus encore,
J'arrête ici et garde tout ces souvenirs en mon fort,
La fête, la vie, retarde un peu l'heure de ma mort,
Je suis né déjà trois fois et je me prépare à éclore.
Les derniers pas de danse arrivent, il est temps, je vais clore
Merci à ceux qui ont dansés, je sais dès lors
Que certains impacts surprenant peuvent être très fort,
Et n'oubliez pas son prénom, c'est Laure.
L'or est net, mais son utilisation souvent discutable,
Laurinette, met le son à fond et voit toi comme tu l'es, formidable.