Sale ça
Sale ça
Sale : c’est ainsi que tu te vois quand pour la première fois
Tu tombes dans mes bras
Oui, sale : c’est ainsi que tu te crois quand pour la première fois
Tu plonges entre mes draps
C’est ainsi que tu te vois, c’est ainsi que tu te crois
Sale : c’est comme ça que tu te sens, c’est comme ça que tu te mens
Pris dans tes/ces histoires d’enfant
Sale ! C’est comme ça que tu me parles, quand près du but tu cales
T’en baves, tu t’embrouilles, tu t’emballes
C’est ainsi que tu te sens, c’est comme ça que tu te mens
Ah sale ! Ça ! Sale, sale, sale ça!
Le bon mâle dans le bon moule mais si mal au corps que tu te saoules
Et si mal au cœur que tu t’écroules mais, au fond t’as les boules, tu râles, tu te sens… sale
Papadapapada !
Sale :
C’est comme ça qu’on t’a appris à bannir tes appétits
Glorifier ton monumental zizi !
Oui, sale : c’est ainsi que tu deviens au bout de tes va-et-vient à fuir le désir que tu crains
C’est ainsi que tu te vois
C’est sale… ça ?
Sale ! T’as envie de m’faire du mal,
D’montrer qu’t’es pas une pédale, aléas emmêlés des mâles
Sales : c’est comme ça que tu nous vois,
Quand pour la millième fois nous défilons devant toi
Sale… ça ?
C’est ainsi que tu nous vois,
C’est comme ça que tu nous vois
Le bon mâle dans le bon moule
Et si mal au corps quand tu dessaoules
Si mal au cœur quand tu refoules
Mais, au fond t’as les boules
Tu râles, tu te sens… sale
Papadapapada !
C’est ainsi que tu te vois c’est comme ça que tu nous vois... sale ça !