Elle s’appelait Thérèse
Je marchais seul sur ce chemin
Une âme s'éveillait au loin
Une âme aussi belle, aussi belle
Que le ciel
Elle était si jeune et si frêle
Mais ses mots chantaient sans pareil
Tout l'amour et la grâce
Et d'un Dieu
Les merveilles
Il est des vies sur nos chemins
Qui nous révèlent ce destin
Quand la terre et les cieux
Semblent briller enfin
De la plus belle voix d'enfant
Et de son nom devenu grand
Touchant toutes les vies
Qui s'ouvrent à l'infini
Comment chacun de ses poèmes
Qu'elle écrivait comme un homme seul
Un peu d'amour et une fleur
Pour chaque jour
Et dans les battements de son coeur
Unis a ceux de son Sauveur
Ses mots comme une braise
Elle s'appelait Thérèse
Silencieuse et si solitaire
Quand elle écrivait sur la terre
Au coeur de chaque larmes
C'est l'histoire
De son âme
Ces mot donné comme l'amour
Pour moi résonneront toujours
Pour ces millions de coeur
Qui cherchent le bonheur
Et que sa vie résonne encore
Et nous dévoile ses trésors
Ses mots comme une braise
Elle s'appelait Thérèse
Elle s'appelait Thérèse
Elle s'appelait Thérèse
Elle s'appelait Thérèse
Je marchais seul sur ce chemin
Une âme s'éveillait au loin
Ses mots comme une braise
Elle s'appelait Thérèse