Obéis-Moi
Tous les hommes se prennent pour des Casanova
Moi, ça ne m'impressionne pas.
Tu m'apportes des fleurs et des gâteaux, mon gars
Tu m'auras pas comme ça.
Obéis-moi ! Oooh, obéis-moi ! Oooh baby !
Obéis-moi ! Oooh, obéis-moi ! Oooh baby !
Tu vas payer pour les millions d'années
Où nous, les femmes, on était dominées
Dominées par l'homme, liberté dominée.
Si tu viens dans mes bras, tu vas voir de quel bois je me chauffe.
T'es venue chez moi, t'as pris une bière dans le frigidaire.
Tu te casses sur mon lit, tu regardes la télé pendant que je te sers
Ton plat de spaghetti.
Obéis-moi ! Oooh, obéis-moi ! Oooh baby !
Obéis-moi ! Oooh, obéis-moi ! Oooh baby !
Met-toi à genoux et lèche-moi les fouilles
Comme un toutou qui demande à manger.
C'est pas toi qui va me mener par le bout du nez.
Tu fermes la porte, le caractère, si tu t'en tires, c'est ça.
Obéis-moi ! Oooh, obéis-moi ! Oooh baby !
Obéis-moi ! Oooh, obéis-moi ! Oooh baby !