Même Si Tu Revenais
--Claude François--
Un p'tit coin perdu très loin de la ville.
Une route sauvage sous un ciel tranquille
Et cette grande entrée au bout du chemin.
Je pousse la grille, et soudain.
Une grande maison, au bout d'une allée.
Une grande maison, toute abandonnée
Et puis sur la porte, une petite pancarte
Où on a écrit : à louer.
Même si tu revenais, je crois bien que rien n'y ferait.
Notre amour est mort à jamais, je souffrirais trop si tu revenais.
Le vent s'est levé, là-haut au premier.
Ce volet qui bat ne ferme toujours pas.
Ce volet grinçant cachait notre amour.
Tu m'avais promis. Mais un jour
Un jour comme un autre, je t'ai attendu
Jusqu'au petit matin, mais tu n'es pas venue.
Les mois ont passé, malgré moi, j'attends.
Je t'attends encore, et pourtant
Même si tu revenais, je crois bien que rien n'y ferait.
Notre amour est mort à jamais, je souffrirais trop si tu revenais.
Même si tu revenais, je crois bien que rien n'y ferait.
Notre amour est mort à jamais, je souffrirais trop si tu revenais.
Même si tu revenais, je crois bien que rien n'y ferait.
Notre amour est mort à jamais, je souffrirais trop si tu revenais.