Heya
(Heya, Heya, Heya, Heya)
Trop souvent seul dans ma hutte
Je cogite trop ouais j’abuse
J’en fais des crises sous la lune
Témoin de mes pensées absurdes
Des psys, des paroles d’adultes, veulent m’éteindre quand je m’allume
Ce qu’elle m’a dit m’a pas plu donc je me confie qu’à ma plume
Se sentir vivant sous le regard éternel de mon art
En plan séquence, tout est en direct, personne check le montage
Elle dit que je me pose trop de questions pour un jeune de mon âge
Je lui réponds que mon cœur pleure le vide de son âme
Heya, Heya, Heya, Heya
Heya, Heya, Heya, Heya
Bien trop souvent sur les nerfs
Colère des Dieux, tonnerre
Mille émotions passent par ma boite crânienne
Grand mystère me dépasse, ce soir je vais me coucher tard
Zéro sang froid comme ours polaire
Jeune et seul, pas de boussole
Nuit transparente et je sors, prendre l’air pour oublier tonne de problèmes
Jamais je ne capitule face à pensées décapitées
L’incompris souvent sème une panique insensée
Seul face à l’immensité de ma démence
Heya, Heya
Heya, Heya, Heya, Heya
Heya, Heya, Heya, Heya
Heya, Heya, Heya, Heya